Spotlight on Implementing Agencies: Madagascar
De gauche à droite: José Miguel Guzmán, Louise Ranaivo, Victor Rabeza Rafaralahy, Irène Hanitra Ranaivoarison, and Marius Randriamanambintsoa
In January 2017, The DHS Program welcomed visitors from Madagascar. This post is one in a series of interviews with visitors to DHS headquarters.
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Nom, titre et organisation : Louise Ranaivo (Assistante Technique, MOH, NMCP) Victor Rabeza Rafaralahy (Coordonnateur MIS-INSTAT), Irène Hanitra Ranaivoarison (Programme National de Lutte Contre le Paludisme), Marius Randriamanambintsoa (Chef de Service, Enquêtes et Recensements Démographiques, Institut National de la Statistique)
Pays d’origine : Madagascar
Q: Racontez un peu la première fois que vous avez travaillé sur des données de « The DHS Program »:
R: Marius Randriamanambintsoa: En 2010, on a utilisé les données de l’EDS pour le memoire sur l’Education de la mère et mortalité des enfants (IFOR)
Q: Qu’est-ce que vous avez trouvé comme surprise agréable lors de votre séjour à « The DHS Program »?
R: Louise Ranaivo : Accueil, organisation, sécurité, spécialité de chacun.
R: Victor Rabeza Rafaralahy : Plus de femmes travaillent au bureau.
Q: Qu’est-ce que vous manque le plus de chez vous quand vous êtes ici ?
R: Louise Ranaivo : Famille.
R: Marius Randriamanambintsoa : La chaleur; on dirait que tout le monde est « cloitré » dans un coin et à envoyer de mails pour dire « bonjour ».
Q: Quelle est la plus grande différence entre le bureau de « The DHS Program » et votre bureau dans votre pays ?
R: Irène Hanitra Ranaivoarison : La disponibilité de tout le monde en cas de problème.
R: Louise Ranaivo : Responsabilité, disponibilité, efficacité de chaque personne.
R: Marius Randriamanambintsoa : Le bureau est très vaste et calme.
Q: Quelle est votre page de couverture préférée ?
R: Marius Randriamanambintsoa : Couleur verte
R: Irène Hanitra Ranaivoarison : Paysage
Q: Quel est votre chapitre ou indicateur préféré, et pourquoi ?
R: Victor Rabeza Rafaralahy : La mortalité des enfants. Mortalité infantile est toujours un des grands problèmes dans les pays en développement.
R: Marius Randriamanambintsoa : Connaissance et information en matière du paludisme. Je suis expérimenté pour ce chapitre et que ça a une influence sur les moustiquaires à imprégnation durable (MID).
R: Louise Ranaivo: Prévention : « Mieux vaut prévenir que guérir ».
Q: Quel est le thème de population ou de santé qui vous intéresse le plus, et pourquoi ?
R: Victor Rabeza Rafaralahy : Nutrition et vaccination (deux problèmes clés pour la réduction de la mortalité).
R: Louise Ranaivo: Paludisme, car c’est encore un fléau. Beaucoup de facteurs entrent en scène : homme – vecteurs – parasites – environnement.
Q: Comment espérez-vous que les données de l’EIP sur votre pays seront utilisées ?
R: Louise Ranaivo: Prévention : Comparaison avec celle des données antérieures et comparaison avec autres pays.
R: Victor Rabeza Rafaralahy : Les responsables concernés par chaque donnée doivent utiliser ces résultats et en tenir compte pour améliorer leur domaine respectif.
R: Marius Randriamanambintsoa : C’est intéressant aux décideurs, les données de l’EIP. Ils ont confiance de ces données.
Q: Qu’avez–vous appris en travaillant avec « The DHS Program »?
R: Louise Ranaivo: Prévention : Qualité du travail, discussions.
R: Victor Rabeza Rafaralahy : Beaucoup de choses : productivité, rapidité contact, plus connaissance, et organisation du travail.
R: Marius Randriamanambintsoa : J’ai appris pas mal de choses comme : la méthode de travail pour faire une enquête, analyse descriptive des données, dissémination des résultats, analyse approfondie des données en utilisant les logiciels : SPSS, SPAD et STATA.
The 2016 Madagascar MIS was released on February 28th.
Download the final report here.